Violett fait partie des nombreuses femmes anglaises dont le fiancé n’est pas revenu de la Grande Guerre et qui sont restées vieilles filles. Elle décide quand même d’échapper à sa mère acariâtre et part vivre seule à Winchester. Son salaire de dactylo ne lui permet pas de bien vivre mais au moins est-elle libre de ses actions.
Elle est attirée par la cathédrale de Winchester et c’est dans cette cathédrale qu’elle va rencontrer ce qui va transformer son existence : les brodeuses de Winchester et Arthur le sonneur de cloches.
Mon avis
Un joli roman sur fond historique
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L’histoire se déroule dans les années 1980. Zélie, étudiante, se rend au chevet de Tine, sa grand-tante qu’elle considère comme sa grand-mère. La sœur jumelle de Tine est morte en couches, c’est Tine qui a élevé l’enfant, Michel (son père, Baptiste, ayant fui à New-York après le décès de sa femme) et plus tard, Zélie, la fille de Michel.
Peu après le décès de Tine, Zélie met de l’ordre dans sa maison et découvre des centaines de lettres cachetées qui proviennent de Baptiste, son grand-père paternel, celui qui est parti aux États-Unis et que Michel n’a jamais connu.
Mon avis
Des Pyrénées à New York, une histoire, en partie épistolaire, qui nous emporte au cœur d’une famille et de ses secrets sur plusieurs générations et qui alterne entre passé et présent des trois principaux personnages : Baptiste, Michel et Zélie.
Un roman captivant et émouvant !
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Madické vit sur une petite île du Sénégal. Footballeur, il vénère Maldini et l’équipe italienne et rêve de devenir un footballeur professionnel en France. Sali, Sa sœur qui a quitté l’île pour Strasbourg essaie de l’en dissuader.
Pour le jeune Madické et ceux restés sur l’île, la France représente la terre promise, le rêve de réussite et d’argent facile.
Pour Sali, la vie en France n’est pas aussi facile.
Le ventre de l’Atlantique exprime donc les difficultés de vivre sur cette île perdue dans le ventre de l’Atlantique mais aussi les difficultés d’insertion, de pauvreté et de solitude pour ceux qui l’ont quitté pour la France.
Le roman met aussi en scène la vie sur l’île, sa gastronomie locale, ses coutumes ancestrales, ses marabouts qui promettent monts et merveilles, les parents qui marient leurs filles de force, les petits commerce, les dettes qu’on ne peut rembourser…
Mon avis
Le thème abordé est difficile. On sent bien la détresse du jeune Madické qui souhaite partir de son île natale pour vivre son rêve de rencontrer Maldini et la détresse de sa sœur qui tente de lui expliquer que la France n’est pas aussi belle que les Sénégalais peuvent l’imaginer.
Au-delà du mythe de la France et de l’exil, l’auteur porte aussi un regard critique sur le statut de la femme dans son pays natal : soumission, mariage forcé, polygamie…
Malheureusement, je n’ai pas aimé le style d’écriture. Je me suis perdue dans les descriptions des histoires annexes de personnes du village, trop longues.
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Ange, 19 ans, étudiante en philologie est solitaire. Elle vit avec Donate, colocataire très maniaque et autoritaire.
Après avoir répondu à une petite annonce, elle donne des cours de littérature à Pie, un lycéen de 16 ans dyslexique. L’atmosphère est étouffante chez Pie entre son père qui espionne son fils et un mère peu présente.
Entre ces deux solitaires, un lien immédiat se crée.
Mon avis
Un très bon Nothomb mais encore une fois trop court… Il se dévore très vite, trop vite.
Un roman un peu autobiographique : « Ange c’est moi à 19 ans » avoue Amélie Nothomb, qui confie avoir également été, au même âge, « terriblement sérieuse » comme son héroïne. « Elle a beaucoup de points communs avec moi » insiste-t-elle, en pointant notamment les études et les difficultés de la jeune femme à rencontrer des amis.
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